Roadmaps

ça veut dire que dans le plan diplomatique proposé par l'ONU, eh bien, on préconise le départ de la famille de Dbeibah. Eh bien, ça voudra dire que Dbeibah aurait toutes les raisons du monde de lancer son attaque avant pour empêcher ce genre de langage diplomatique. Donc, on assiste à une situation un petit peu comme en avril 2019, parce que, à l'époque, l'envoyé spécial de l'ONU, Ghassan Salamé, était en train de préparer une bonne initiative de paix. Et bien cet argument avait fini par accélérer l'attaque physique, une attaque militaire donc, de la part du maréchal Haftar contre Tripoli. J. Harchaoui RFI

Al momento tutte le opzioni sono sul tavolo.

Agli Haftar non conviene arrivare alla soluzione militare.

Vanificherebbe gli sforzi messi in atto negli ultimi mesi. Che vanno ben oltre immagine e comunicazione.

Il generale Khalifa Haftar in maniera pacata e decisa attraverso i "noti" canali potrebbe  chiedere al governo italiano di staccare la spina a Tripoli.